17 août 2009
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Pas de long voyage cet été ! J'ai passé quelques jours à Paris pour voir ma fille. C'était
blindé de touristes. Alors le Louvre, il faut renoncer ! J'ai donc décidé de visiter le Palais Garnier qui abrite l'Opéra, avec un guide, une fois n'est pas coûtume. C'est assez époustouflant
avec l'amoncellement de styles variés. Construit par Charles Garnier avec des interruptions pour cause de révolutions ou de guerres, il a été inauguré en 1875.

Nous sommes entrés par le pavillon des abonnés : là, les riches abonnés arrivaient avec leur
voiture, évitant l'attente sous les intempéries. Une grande salle ronde abritaient leurs gens qui les attendaient pendant qu'ils étaient dans l'enceinte de l'Opéra. Charles Garnier a signé son
oeuvre surle plafond au centre de la rotonde.

Puis nous nous dirigeons vers le grand escalier, admirant au passage la Pythie d'Adèle d'Affry, qu'elle a signé sous le nom de Marcello car il n'était pas convenable qu'une femme soit artiste et comme elle ne trouvait pas de modèle, elle a réalisé sa propre empreinte.


Le grand escalier conduit d'une part vers la salle et d'autre part vers le grand foyer où les spectateurs pouvaient se rencontrer, manger ou boire, jouer, bref, on ne venait pas à l'Opéra juste pour le spectacle mais aussi pour y faire des affaires.

L'entrée du couloir vers la salle est gardée par deux grandes statues formée de deux marbres différents et chaussées de sandales en cuivre.

On ne peut apercevoir la salle que d'une loge, j'ai pu admirer le plafond décoré par Chagall, au dessus d'un lustre monumental.

Dans le pavillon impérial, conçu pour que l'empereur soit protégé, mais qui n'a pas été décoré, faute d'argent, on a installé la bibliothèque et le musée.

Contrairement à ce que tout le monde croit, il n'y a pas de lac sous l'opéra mais un réservoir d'eau d'origine phréatique de quelques centaines de mètres cubes réservé aux plongeurs des pompiers de Paris pour leur entraînement.

Puis nous nous dirigeons vers le grand escalier, admirant au passage la Pythie d'Adèle d'Affry, qu'elle a signé sous le nom de Marcello car il n'était pas convenable qu'une femme soit artiste et comme elle ne trouvait pas de modèle, elle a réalisé sa propre empreinte.


Le grand escalier conduit d'une part vers la salle et d'autre part vers le grand foyer où les spectateurs pouvaient se rencontrer, manger ou boire, jouer, bref, on ne venait pas à l'Opéra juste pour le spectacle mais aussi pour y faire des affaires.

L'entrée du couloir vers la salle est gardée par deux grandes statues formée de deux marbres différents et chaussées de sandales en cuivre.

On ne peut apercevoir la salle que d'une loge, j'ai pu admirer le plafond décoré par Chagall, au dessus d'un lustre monumental.

Dans le pavillon impérial, conçu pour que l'empereur soit protégé, mais qui n'a pas été décoré, faute d'argent, on a installé la bibliothèque et le musée.

Contrairement à ce que tout le monde croit, il n'y a pas de lac sous l'opéra mais un réservoir d'eau d'origine phréatique de quelques centaines de mètres cubes réservé aux plongeurs des pompiers de Paris pour leur entraînement.