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L'Ouzbekistan, ce ne sont pas que les coupoles turquoise mais aussi une nature. Comme le disait Gaëlle dans une de ses
lettres, il n'y a pas de forêts, mais un grand désert parsemé d'oasis où se sont installées les villes.
Donc nous sommes allés dans le désert passer la nuit dans un camp de yourtes.
D'abord voici la route du désert.
Après avoir passé quelques collines, on débouche sur le grand plateau désertique le
Khyzyl Koum : cela veut dire sable rouge. C'est vrai que le sable est plus ocre que celui du Sahara mais pas autant que
celui du désert du centre australien.
On arrive au camp de yourtes, niché dans une petite dépression à l'abri du vent.
Voici l'intérieur de la yourte assez confortable. Mais il n'y a pas d'électricité, il ne fallait pas oublier sa lampe de poche. Ce sont les toilettes qui sont plus spartiates ...
Nous nous sommes
promenés dans les alentours soit à pied soit en chameau . J'ai trouvé le chameau plus confortable que le dromadaire : on est bien calé entre les deux bosses. L'avantage de la promenade en
chameau, c'est qu'on voit plein d'animaux du désert qui ne se méfient pas de notre monture.
Nous avons rencontré peu de bêtes à part les tortues qui sortaient de leur sommeil hivernal et qui étaient toutes émoustillées par leurs congénères (je ne vous montrerai pas les photos hard que nous avons pu prendre dans la suite de cette scène ! ),
Le bousier en train de faire sa boule ; on en a beaucoup vu ce qui prouve qu'il n'y a pas d'insecticides ici,
les troupeaux qui vagabondent dans l'immense espace,
et cet adorable agneau.
Pour les plantes, il était trop tôt en avril pour que ce soit l'explosion florale.
Néanmoins nous avons pu admirer ce joli coquelicot avec sa couronne noire en son coeur,
et cette plante qu'on n'a pas pu déterminer.